Mes hoêtes me laissent dormir tard, et m'offrent un somptueux frühstück, me préparent une casse croûte, des fruits, de l eau.
Nous prenons quelques photos dans leur jardin :











Cette région, m'a dit M. Starck est le Jura souabe.



J'enregistre mon nouveau record : 52,2 km/h, c'est vous dire à quel point ça descend raide !
Même après ces 10 kms de souffrance, la route est bien vallonnée jusqu'à Radolfzell, où on arrive au lac de Constance. Je trouve un petit camping, à Moos, c'est une base de canoe.

Le soir je m'approche du ponton, parmi les roseaux, les canards, c'est bien cool.
Tout va bien jusqu'à 22h. Là commence une des pires nuits que j'ai pu passer : ça n'a rien à voir avec les feux d'artifice, mais commence une succession d'orages avec des éclairs sans arrêt, des coups de tonnerre ininterrompus très proches, tout cela ça tourne tout autour du lac, puis un vent de fou, et de l'eau, de l'eau, des seaux d'eau se déversent sur la tente.
Et on peut pas dire qu'il y a des accalmies : ça repart de plus belle chaque fois.
Je ne peux pas y faire grand chose, et pourtant, tout se mouille dans la tente. Cette fois ci je crois que c'est le coup de la couverture de survie qui a été fatal, car l'eau projetée violemment tout autour de la tente, n'a pas pu s écouler vers l'extérieur, vu que cette couverture de survie est imperméable.
Le résultat est une cata : matelas, sac de couchage, fringues trempées, cartes, papiers aussi.
Bien sûr impossible de dormir, j'attends le lever du jour, avec le pressentiment du pire...
Bien sûr impossible de dormir, j'attends le lever du jour, avec le pressentiment du pire...
1 commentaire:
eh bien dit quel 14 juillet!!.entre le relief et les orages ça été la fête!!
Toujours aussi passonnant de te lire.
Simone
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